Les aventures de Morgane en consultation médicale

Catégories : FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 7 ans

Les aventures de Morgane en consultation médicale

Je me dirigeais vers le cabinet du docteur Alexandre pour mon aller à mon rendez-vous médical. Depuis quelques jours j’étais un peu fatiguée mais c’était surtout mon dos qui m’handicapait. Comme vous le savez sûrement, je suis de nature sportive et je peut-être n’était-ce que des courbatures. Mais je voulais en avoir le cœur net.

Le climat était apaisant. Nous étions au printemps et l’air n’était ni chaud ni froid. Quelques moments plus tôt je sortais de la douche et enfilais un petit string noir, un pantalon slim noir et un débardeur blanc moulant avec un décolleté plutôt plongeant. J’arrivais devant le seuil de la porte. L’entrée débouchait directement sur une petite salle d’attente ou je m’installais en attendant que le docteur m’appelle.

Le cabinet avait la taille d’une petite maison et la salle était vide. Je commençais à feuilleter une revue people lorsque j’entendis les gonds de la porte grincer légèrement.

  • Bonjour Mademoiselle Morgane, vous êtes ravissante comment allez-vous ? me dit une voix virile mais enjouée.

  • Très bien et vous Monsieur Alexandre ? répondis-je avec un ton tout aussi jovial.

  • Parfaitement bien merci. Entrez je vous prie ! m’invita le docteur.

C’était un homme de la quarantaine qui vieillissait fort bien. Ces cheveux commençaient à devenir poivre et sel, de petites rides faisaient leur apparition au coin de ses yeux mais le docteur gardait quelque chose de jeune et de dynamique. Je savais qu’il était adepte de la course à pied puisqu’il participait toujours aux marathons de la région. Malgré son âge, monsieur Alexandre était mieux conservé que certains de mes camarades de classe qui se laissaient aller. Aussi, il ne laissait aucune femme indifférente. Son charme naturel séduisait aussi bien les jeunes femmes comme moi que les grand-mères du quartier.

Le docteur était élégamment vêtu d’une chemise, d’un pantalon fin en coton blanc et de sa veste de médecin. Il me tint la porte et je me faufilais à l’intérieur de la salle éclairée par les rayons du soleil, où se trouvaient une table d’examen, un grand bureau en chêne massif et des étagères remplies de livres. En me retournant vers le docteur, je remarquais que celui-ci en avait profité pour laisser son regard observer mon fessier. Il eut l’air gêné une fraction de seconde puis reprit la parole :

  • Asseyez-vous je vous en prie.

Je m’exécutais avec un sourire quelque peu flatté tandis que monsieur Alexandre faisait le tour de son bureau et alla s’asseoir sur sa chaise.

  • Alors que vous est-il arrivé Mademoiselle ? demanda le docteur en croisant ses mains devant lui et en me regardant avec un sourire charmeur.

Je lui expliquais mes baisses de tensions, mes moments de fatigue et mon mal de dos tandis qu’il m’écoutait avec la plus grande attention.

  • Avez-vous plus de charge de travail en ce moment ? me demanda-t-il sur un ton sérieux.

  • Non…pas vraiment, répondis-je l’air pensif.

  • Pratiquez-vous un sport ? A vous voir je suppose que oui, rajouta le docteur avec un regard jovial et pétillant.

  • Oui j’en pratique plusieurs. La course à pied, la natation, le tennis et l’équitation.

  • Bien ! Et avez-vous attrapé un coup de froid ? Les matins sont un peu frais ces temps-ci.

  • Je ne pense pas. C’est vrai que je ne me couvre pas autant que je le devrais mais bon.

  • D’accord ! Vous dormez assez ? Vous ne faites pas des soirées trop longues avec vos amis ou votre copain ? enchaîna le docteur.

  • Je sors de temps en temps les weekends mais rarement en semaine et je n’ai pas de copain, répondis-je le plus simplement du monde.

  • Vous voyant, j’aurais parié le contraire, dit le médecin en rigolant tandis que je rougissais du compliment. Très bien, rajouta-il en regardant le document qu’il avait devant lui, nous allons faire un petit examen pour voir tout ça.

J’acquiesçais alors que le docteur Alexandre se levait et refaisait le tour du bureau.

  • Pouvez-vous vous lever s’il-vous-plait, me demanda-t-il d’un ton doux mais virile.

  • Oui bien sûr, répondis-je en me levant.

  • Très bien, maintenant tournez-vous.

Une fois de plus je m’exécutais. Je sentis le docteur s’accroupir face à mon fessier et je sentais mes joues redevenir rouge écarlate. La main tiède et douce se posa sur le bas de mon dos. Elle était grosse mais d’une délicatesse sans nom. Ses gestes étaient à la fois légers et puissants. Je me sentais en sécurité.

  • C’est ici que vous avez mal ? demanda le docteur Alexandre.

Je le guidais vers les endroits où la douleur se faisait ressentir. Ses mains parcouraient mon dos avec virilité et tendresse et exerçaient de légères pressions par endroit. Puis ses mains se posèrent sous mon fessier et palpèrent mes cuisses fermes. Je sursautais mais le docteur me rassura :

  • Détendez-vous un petit peu, je suis médecin vous n’avez rien à craindre, me dit-il calmement.

  • Désolée c’est juste que je ne m’y attendais pas, répondis-je en fixant droit devant moi.

  • Vous avez également mal au cuisse ? demanda-t-il en palpant mes jambes sur toute la longueur avant de revenir vers le haut de mes cuisses.

  • C’est vrai que je ressens un petit quelque chose, mais ce n’est pas vraiment de la douleur, répondis-je abstractivement.

  • Bien, asseyez-vous sur la table d’examen, me dit-il en se relevant.

Je m’asseyais sur la table tandis que le médecin mettait ses instruments à portée de la main. Tout en me souriant il passa un brassard autour de mon bras et mesura ma tension. Ses yeux passaient de son petit cadran qui lui affichait le résultat à mon décolleté qui semblait les hypnotiser.

  • Votre tension est un peu faible mais rien de bien grave, me dit-il sur un ton rassurant.

Ses mains enlevèrent le brassard avec délicatesse et un frisson parcouru mon échine. De la virilité et de la puissance émanaient de cet homme. Pourtant ses gestes étaient méticuleux et doux. Le docteur Alexandre saisit un stéthoscope et le passa autour de son cou.

  • Pouvez-vous enlever votre haut Mademoiselle ? demanda-t-il d’une voix tranquille mais ferme.

  • C’est-à-dire…, balbutiais-je en rougissant plus que jamais, je n’ai pas de soutien-gorge.

Je me sentais bête de ne pas avoir pensé à cela. Pour qui allait-il me prendre ? J’étais paralysée pourtant son calme et sa bienveillance me poussaient à me détendre.

  • Vous savez, je suis médecin et j’ai déjà plus d’une poitrine, me confia-t-il avec un sourire agréable. Mais si vous le souhaitez, vous pouvez garder votre haut.

L’espace d’un instant je ne savais quoi faire. Puis je pris du recul et fis mine de l’enlever. Je passais ma tête par l’encolure et libéra mes seins. J’étais encore quelque peu mal à l’aise et en voulant me cacher je ne faisais que mettre on ne peut plus ma poitrine en exergue. Je voyais le regard du docteur se poser sur mes seins de taille moyenne, fermes et bien ronds. Mes tétons commençaient à pointer et une bouffée de chaleur s’empara de moi. L’excitation me gagnait mais la gêne était toujours palpable.

  • Souhaitez-vous vous allonger sur le dos ? me proposa le médecin.

  • Oui je veux bien.

Je m’allongeais pour faciliter le travail du docteur Alexandre. Je m’eff o r ç a is de regarder le plafond pour ne pas penser à ma poitrine qui était complètement offerte à la vue de ce bel étalon. J’essayais tant bien que mal de me détendre. Mon cœur battait la chamade et mon souffle se saccada on ne peut plus lorsque je sentis le petit disque se poser du ma peau. Le docteur posa délicatement son instrument contre moi, provoquant à chaque fois un frisson. Mes petits tétons pointaient mais j’essayais de contrôler ma respiration. Une fois encore, les gestes du médecin étaient francs mais délicats et je sentais une chaleur s’emparer de mon bas ventre alors que ses mains frôlaient mes seins.

  • Votre pouls est normal, me dit-il avec un sourire alors que je ne quittais plus le plafond des yeux. Et croyez-moi votre poitrine est de loin la plus belle que j’ai eu la chance de voir depuis longtemps, rajouta-t-il.

Mon cœur s’arrêta l’espace d’un instant mais la chaleur me submergeait intérieurement. J’étais paralysée mais étonnamment à l’aise, honteuse mais aussi honorée du compliment. Le docteur alla ranger son stéthoscope et je remarquais que son pantalon fin mettait en exergue une bosse importante. Je restais là, allongée sur le dos, déchirée entre mes émotions et complètement paralysée. Monsieur Alexandre revint vers moi, laissa son regard parcourir mon corps, puis reprit la parole :

  • Pouvez-vous me mettre sur le ventre je vous prie ?

  • Oui…bien sûr, balbutiais-je une fois de plus.

Je m’installais sur le ventre. Mes seins s’aplatirent sur la table d’examen et je sentis les mains expertes du médecin se poser sur le bas de mon dos. Il le palpait, le massait et le caressait. Cela faisait un bien fou et je crus m’abandonner à ses mouvements sensuels lorsque le docteur ajouta :

  • Je vais prendre votre température. Cela ne vous gêne pas si j’utilise un thermomètre…rectal ? demanda-t-il le plus sereinement du monde.

  • Pardon ? demandais-je comme si j’avais mal entendu.

  • Je n’ai que ça mais si vous ne voulais pas je comprendrais, répondit-il après avoir marqué un petit moment de silence.

Ses mains continuaient de me masser et une fois de plus j’étais confrontée à un choix périlleux. Malgré tout ce que vous pouvez penser, je reste profondément timide, surtout avec des hommes mûrs. J’inspirais profondément puis répondis :

  • D’accord allez-y !

  • Très bien ! Si vous permettez, dit le docteur en saisissant délicatement le haut de mon pantalon avec ses deux doigts.

Je soulevais mon bassin pour lui faciliter la tâche. Le médecin baissa mon pantalon jusqu’au niveau des genoux. Je sentais son regard scruter mon petit string qui se perdait dans le sillon de mes fesses bien rondes et fermes. Puis il alla chercher le thermomètre et, en le posant à côté, me dit d’un ton bienveillant:

  • Détendez-vous, ça va bien se passer.

Ses mains accompagnèrent ses paroles et se posèrent sur le bas de mon dos et sur mes fesses comme pour me relaxer. Les battements de mon cœur s’emballaient et mon sexe commençait à me brûler. Je sentis les doigts du médecin passer sous les ficelles de mon string et, le plus délicatement du monde, les tirer vers le bas. Une fois le string et le pantalon réunis, le docteur les tira un peu plus vers le bas.

  • S’ils vous gênent, vous pouvez les enlever, dis-je sans même avoir réfléchis.

Mais qu’avais-je dis ? Pour qui allait-il me prendre ? J’espère qu’il n’allait pas mal l’interprété ! Quoi que peu d’interprétations étaient possibles. Il s’avait qu’il m’attirait, il devait avoir de l’expérience pour remarquer ce genre de comportement chez les femmes. Mais ou avais-je la tête ?

  • Je n’osais pas vous le demander, répondit-il.

Je sentais un sourire se dessiner sur ses lèvres. Il savait que je ne pouvais lui résister. Sa présence était réconfortante, son attitude était charmante et respectueuse bien que déterminée. Il enleva mes chaussures avec délicatesse puis fit glisser mes vêtements sur le sol. J’étais nue, devant lui. Je n’aurais pas dû ressentir quoi que ce soit devant un médecin, mais c’était un plus que cela. La relation professionnelle cédait de plus en plus la place à la passion et l’envie.

Ses mains se posèrent sur mes hanches et machinalement j’écartais mes jambes de quelques centimètres et bombais mes fesses. Ses mains glissèrent sensuellement sur mes fesses. J’avais la chair de poule tant sa délicatesse m’excitait. Il saisit le petit thermomètre et écarta délicatement mon entrejambe qui s’offrait à lui. Je retins ma respiration et relâcha mes muscles. Je sentis la petite languette du thermomètre se poser sur mon petit trou puis, toujours aussi calmement, le docteur exerça une petite pression et l’enfonça dans mon anus. La sensation était bizarre mais rapidement je m’accoutumais. Le médecin lâcha le thermomètre qui tenait droit et passa ses mains sur mes fesses et sur le haut de mes jambes.

Ses caresses s’arrêtaient toujours à quelques centimètres de mon sexe et je mouillais de plus en plus. Le docteur avait dû s’en apercevoir tant mon entrejambe lui était offert. Un petit signal sonore se fit entendre, il saisit le thermomètre et l’enleva doucement de mon anus, m’arrachant au passage un petit râle de plaisir.

  • Votre température est légèrement supérieure à la normale. Vous sentez-vous fiévreuse Morgane ? demanda-t-il tout en rangeant silencieusement son matériel.

  • J’ai un petit peu chaud, mais pas depuis longtemps, répondis-je calmement.

  • Je vois, reprit-il en saisissant un tube de crème. Je vais vous passer un peu de crème, ça vous fera du bien.

  • Je vous en prie, dis-je dans un état second.

Le docteur déposa une noisette de crème sur ses doigts, se frotta les mains puis les appliqua sur le bas de mon dos. Le massage était exquis et je me détendais toujours plus. Ses mains descendirent de plus en plus sur mes fesses que je bombais naturellement. Je fermais mes yeux et me laissais aller. Une main quitta mes fesses et je la sentis se poser entre les lèvres trempées de mon sexe. J’étais comme anesthésiée par la douceur de ses doigts et je levais un peu plus mon bassin comme pour lui demander de continuer. Ses doigts glissèrent sensuellement le long de mon sexe et le docteur reprit :

  • Je vois que votre chaleur n’est peut-être pas dû à de la fièvre mademoiselle.

Il n’attendait pas de réponse car il la connaissait déjà parfaitement. Ses doigts continuèrent leur progression et se posèrent tendrement sur mon clitoris. Tout en continuant de me masser le dos d’une main, le docteur caressais mon sexe chaud et humide. Sa main remonta le long de ma fente et deux doigts pénétrèrent tendrement mes entrailles. Je poussais un râle de plaisir. Ses allers retours étaient langoureux mais sûrs. J’essayais de rester calme mais j’accumulais en réalité les cris que j’aurais voulu pousser. Le médecin accéléra un peu plus le rythme et je saisis mon haut que j’avais ôté quelques instants auparavant pour étouffer mes cris à l’intérieur et pour le mordre. Ses doigts experts et méticuleux ne mirent pas longtemps à être recouverts de cyprine que j’éjaculais dans des cris de plaisir incontrôlables. Mes muscles étaient contractés et des spasmes me transperçaient le corps.

Le médecin retira délicatement ses doigts mais continua à caresser mes lèvres tandis que son autre main continuait de me masser le dos. J’essayais de reprendre silencieusement ma respiration mais ce médecin faisait tout pour me faire crier. Il savait parfaitement s’y prendre avec les femmes. Mon bassin était toujours soulevé pour recevoir ses caresses. Ses doigts trempés remontèrent mon entrejambe et se posèrent sur mon anus. J’écartais machinalement un peu plus mes jambes. Je sentis le docteur exercer une légère pression avec son majeur qui ne tarda pas à disparaître entièrement dans mon petit trou.

Tandis qu’il doigtait tendrement mon anus, le docteur se rapprocha de mon visage. Mes yeux se posèrent instinctivement sur l’énorme bosse de son pantalon. En plus du fait que celui-ci était fin et en coton, le docteur ne portait aucun caleçon en dessous et son sexe pointait vers moi. Je le regardais avec un sourire et porta ma main vers l’objet de mon désir. En saisissant cette bosse, le tissu de son pantalon se tira. Elle était bien moulée devant moi et je sentais sa chaleur et sa puissance émaner du tissu qui me séparait d’elle.

Je saisis l’élastique autour de sa taille et le tira vers moi. En le baissant, celui-ci buta sur le sexe érigé sur docteur mais je parvins tout de même à le descendre au niveau de ses genoux. Devant moi s’offrait un sexe magnifique, droit et large, épilé et puissant. Je relevais mes yeux vers ceux du docteur qui guettait ma réaction et lui offrit un large sourire. Le médecin doigtait toujours mon petit trou qui remuait légèrement pour bien le sentir.

Je reposais mes mains sur la table d’examen et sans m’aider d’elles je saisis le gland du docteur qui s’offrait à mes lèvres. Je le sentis immédiatement contracter son pieux ce qui lui donnait un diamètre on ne peut plus important. Ma langue faisait des allers retours dans ma bouche et sur son gland. J’ouvrais mes lèvres au maximum pour accueillir son sexe que j’aspirais passionnément. La main libre du docteur passait dans mes cheveux et exerçait une petite pression comme pour m’encourager. Un deuxième doigt se fraya un passage dans mon petit trou ce qui me valut de pousser de nombreux gémissements. Je commençais à sucer ce sexe avec plus d’ardeur et de passion pour le plus grand plaisir du docteur qui râlait de plaisir.

Ses doigts s’immobilisèrent dans mon anus et tirèrent mon bassin vers le haut. On n’aurait pu rêver mieux comme prise. J’étais à présent sur les genoux, les fesses en l’air. Le docteur enleva son sexe de ma bouche sans pour autant retirer ses doigts de mon petit trou. Il posa sa main sur la partie droite de ma tête pour m’inviter à la poser sur le rebord de la table. Il maintenait ma tête collée contre la table. Quelque chose avait changé dans son attitude. Il semblait plus sauvage, plus dur, plus excité. Comme si le loup avait pris le pas sur l’agneau. La douceur cédait le pas sur quelque chose de plus brutal. J’étais à la fois effrayée de le voir dans cet état second et à la fois terriblement excitée par ce qui allait se produire.

Tout en maintenant la pression sur ma tête pour qu’elle reste immobile, le docteur Alexandre, ou ce qu’il en restait, approcha son sexe de ma bouche. Je me comportais en jeune femme polie et ouvris la bouche pour l’accueillir. Je ne m’attendais cependant pas à autant de fougue. A peine mes lèvres s’étaient-elles séparées que l’homme enfonça profondément son sexe dans ma gorge. Je manquais de m’étouffer tant j’avais été prise de court par son geste. L’espace d’un instant je crus qu’il avait compris car il se retira mais j’avais tort. Il revint de plus belle et commença à entamer des allers retours profonds et intenses.

Ses deux doigts faisaient des allers retours rapides et puissants dans mon petit trou. J’avais mal mais en même temps ce changement de comportement m’excitait au plus haut point. Le docteur continuait de faire l’amour à ma bouche comme s’il avait fait l’amour à mon sexe. Il ne me ménageait pas et moi j’encaissais les coups avec plus ou moins de difficultés. Le médecin fermait les yeux et continuait ses vas et viens comme s’il pensait à autre chose. Ses mouvements se firent plus rapides entre mes lèvres. Je décidais alors de poser ma main droite sur ses fesses, comme pour l’encourager à mon tour. Le docteur ouvrit les yeux et me regarda prendre plaisir à encaisser ses coups de reins brutaux. Je voyais dans son regard que quelque chose l’empêchait de s’arrêter. Son sexe se raidit dans ma bouche, ses doigts redoublèrent de vitesse dans mon petit trou, sa main maintenait ma tête immobile et tous deux éjaculâmes à foison. A mesure que de la cyprine jaillissait de mon sexe, du sperme épais et chaud emplissait ma bouche. Des décharges transperçaient le sexe du médecin qui s’agitait frénétiquement entre mes lèvres.

Soudain, il retira son sexe de ma bouche encore emplie de son nectar et enleva ses doigts de mon entrejambe trempé.

  • Je suis vraiment désolé Morgane, dit-il d’un air honteux et confus en remontant son pantalon sur son sexe encore dressé. Je ne sais pas ce qui m’a pris, ce n’était plus moi. Je suis vraiment désolé.

Je restais un instant dans la même position, endolorie par l’expérience que je venais de vivre. Je me redressais en mouillant encore et avalais le sperme qui s’était accumulé dans ma bouche. Je manquais de m’étouffais tant la quantité était importante. Le docteur s’était assis sur le rebord de son bureau. Son regard m’évitait et se portait vers l’extérieur ou le soleil inondait la verdure environnante. Sa poitrine montait et descendait tandis qu’il reprenait sa respiration. Le loup était redevenu un agneau sans défense et l’homme brutal avait laissé place à l’homme honteux de son comportement. Le docteur semblait regretter amèrement ses actes et de la tristesse semblait emplir ses yeux.

Je me levais, nue et mouillée, et m’approcha silencieusement de lui. Arrivée face à lui, je glissais ma main sur sa joue et tourna son visage vers moi. Je fixais tendrement son regard vers le sien qui essayait de m’échapper et posa mes lèvres sur les siennes sans un mot. Mes yeux se posèrent sur son pantalon ou son sexe ne semblait pas avoir perdu de son érection. Tout en plongeant mon regard dans le sien, je saisis délicatement l’élastique de son pantalon et le baissa doucement à hauteur de ses genoux. Le docteur ne bronchait pas et ne semblait pas comprendre la situation. Il se laissait faire, toujours abattu sur le bord de la table.

Je posais une dernière fois mes lèvres sur les siennes et me retourna. Je cambrais mon dos, saisis son sexe toujours en érection dans ma main et le guida dans mon intimité. Je pénétrais entièrement son sexe dans le mien et poussa un râle de plaisir. Je me collais on ne peut plus contre le docteur, pris ses mains et les posèrent doucement sur mes seins. Puis je commençais à monter et descendre délicatement et sensuellement sur son pieu tout en bombant mes fesses vers lui. Ses mains caressèrent mes seins avec amour et une tendresse retrouvée. Je me collais au maximum contre lui et continuais à lui montrer que j’avais envie en lui. Le docteur reprenait confiance en lui, ses mains caressaient mon corps avec passion, mes seins pointaient comme jamais devant une situation aussi belle et tendre.

Doucement, le médecin s’extirpa de mon sexe, et leva et me retourna vers lui. Il me regardait avec un sourire charmeur que je lui connaissais bien, je sentais son sexe en liberté frotter contre mon bas ventre et il m’embrassa tendrement. Puis il échangea nos places tout en goûtant à mes lèvres, me porta par les cuisses puis nous allongea sur le bureau en faisant tomber quelques documents au passage. Mes jambes étaient entremêlées autour de sa taille, nos regards ne se quittaient plus un instant et nos lèvres ne se séparaient que pour se lancer des sourires.

Son sexe pénétra doucement le mien et nous fîmes l’amour sur son bureau pendant de longs instants. Ses lèvres se posaient dans mon cou, sur mes seins et me laissaient pousser des gémissements à chaque fois que son sexe me pénétrait. Mes ongles s’enfonçaient dans son dos musclé et mes doigts passaient dans ses cheveux.

  • Continue, lui susurrais-je à l’oreille avant de la mordiller.

Mes jambes étaient désormais en l’air et le médecin redoublait d’effort. Ses yeux se posèrent dans les miens. Il me voyait commencer à gémir la bouche grande ouverte, les yeux à moitié fermé et continua de plus belle. Mon corps fut parcouru de spasme, mes muscles se contractèrent tout comme mon vagin et je ne pus m’empêcher d’hurler de plaisir. Je sentis le sexe de mon amant se contracter à son tour et engendrant une vague de chaleur dans mon bas ventre.

Le docteur m’embrassa avec amour en restant en moi. Nos corps étaient collés l’un à l’autre, nos mains se caressaient avec passion. Nous échangeâmes un sourire, nos yeux pétillaient de vie et de joie. Nous voulions rester indéfiniment dans cette position mais nous convînmes de nous revoir très rapidement. Mon amant se retira délicatement, m’aida à me relever et nous nous rhabillâmes sans nous lâcher du regard. Sur un ton professionnel il me conseilla de faire une cure de vitamine puis m’embrassa tendrement et me raccompagna à la porte. En ouvrant cette dernière, nous vîmes avec surprise qu’une vieille dame se trouvait dans la salle d’attente et nous regardait avec un petit sourire. Je me retournais vers le docteur Alexandre, prête à éclater de rire, et lâcha :

  • Au revoir docteur, à la prochaine fois, comme si de rien n’était.

Je lui serrais la main pour jouer le jeu avec qu’une envie, c’est qu’elle m’étreigne et me fasse hurler de plaisir comme elle l’avait fait.

Imagine69

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